Jean-François Aron
Petite histoire personnelle de l’art
Petite histoire personnelle de l’art n’est pas le travail d’un peintre. Ce n’est ni une anthologie ni un essai sur l’art. Hors de tout sentier muséologique ou universitaire, Petite histoire personnelle de l’art n’a aucune prétention historique ou philosophique. Ce que certains pourraient prendre, non sans raison, pour de la légèreté, de la facilité ou de l’impertinence, est le prix, inestimable, de la liberté et du plaisir. Le plaisir et la liberté du regardeur. Sa mauvaise foi, ses partis pris, ses obsessions, l’étonnement de son regard : un regard qui tonne et détonne. Sans irrévérence aucune.
Petit poème encyclopédique, chiasme perpétuel, almanach imaginaire, cabinet des vanités, petite machinerie environnementale, herbier pictural, valise à poéticones, Petite histoire personnelle de l’art est le fruit d’un jeu solitaire d’échos, de reflets et d’assemblages. C’est une plongée toute subjective dans quelques-uns des trésors de la peinture occidentale. C’est un hommage aux plus grands. Une tentative toute partiale de dire quelque chose de l’art avec des mots, des images et surtout cette conviction, plus magique que rationnelle, que leur(s) interaction(s) nous réserve(nt) souvent de grandes et belles surprises.
Ces figures relèvent plus de l’intention que de la décision, plus de l’ambiguïté que de la certitude et permettent peut-être ainsi une réflexion plus affinée sur les œuvres. Un autre regard sur l’art, posé, avec des moyens surréalistes, par un écrivain dilettante féru de peinture. Un regard à s’approprier, à partager : un regard à offrir.
17 x 20 cm
64 pages en couleurs
Couverture à rabats
20 €
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